Je n’ai jamais vraiment été un fan de l’automne. Il m’a toujours rappelé que les glorieuses journées ensoleillées de l’été étaient terminées et que les jours froids, sombres (et surtout humides) de l’hiver étaient en route.
J’ai l’impression que la première moitié de l’automne a été consacrée à la disparition de l’été et la seconde moitié à la préparation de l’hiver, si bien que je n’ai jamais vraiment profité de l’automne dans toute sa beauté.
Tout cela a changé lorsque nous avons finalement visité le Québec. Il s’est avéré que mon dédain pour l’automne était surtout dû au fait que je n’avais jamais vraiment fait l’automne correctement. S’il y a un endroit où l’on peut vraiment tomber amoureux de l’automne, c’est bien au Québec.
Nous sommes arrivés à Québec de nuit et après avoir dormi 10 heures (ce qui est toujours un bon moyen de lutter contre le décalage horaire), nous nous sommes levés tôt, impatients d’aller explorer la ville.
Elle est d’une
Je pense que c’est aussi un témoignage de la ville que l’air froid qui s’est installé n’a pas entamé notre enthousiasme lorsque nous avons exploré la ville ce soir-là.